Genial, Essayez de lui suivre, mais gardez attention
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Genial, Essayez de lui suivre, mais gardez attention
Ils détournent 41 millions de numéros de cartes de crédit
Et y en a qui jouent au Loto...
Albert Gonzalez. Retenez bien ce nom.
Meneur d'un groupe ayant détourné pas moins de 41 millions de numéros
de cartes de crédit, il est accusé par la justice américaine de :
fraude informatique, fraude téléphonique, usurpation d'identité
aggravée, et enfin de complot. Il risque tout simplement la prison à
vie.
Onze
personnes ont en tout et pour tout été inculpées. Si les dommages ne
sont pas (encore) quantifiables, Michael Mukasey, le procureur général,
a déclaré à la presse locale que ce groupe, dirigé par Albert Gonzalez,
a violé des systèmes de sécurité et installé des programmes afin de
recueillir « des quantités énormes de données financières personnelles, qu'ils auraient ensuite vendues à des tiers ou utilisées eux-mêmes ».
La justice révèle que ces 11 pirates ont infiltré les réseaux (via
Wi-Fi) des détaillants suivants : TJX (Marshalls et TJ Maxx), BJ's
Wholesale Club, OfficeMax, Boston Market, Barnes & Noble, Sports
Authority, Forever 21 et DSW.
Et si toutes les victimes n'ont pas encore été identifiées – on sait
toutefois que de nombreux Américains et Canadiens sont concernés –
l'Associated Press révèle que notre équipe de football du jour est
digne d'un grand club, avec des joueurs aux multiples origines.
Trois d'entre eux sont Américains, trois autres Ukrainiens, deux sont
Chinois, un est Estonien et un autre vient de la Biélorussie. Le
onzième homme ne serait pour l'instant connu que par son pseudo, et sa
nationalité est encore à identifier.
« Alors que la technologie a rendu notre vie plus facile, elle
a également créé de nouvelles vulnérabilités. Cette affaire montre
clairement comment quelques frappes sur un clavier avec un but criminel
peuvent avoir des résultats "coûteux" », résume le juge américain Michael J. Sullivan.
Selon ce dernier, nos 11 pirates n'étaient pas des génies de
l'informatique malgré leur performance, mais de simples opportunistes,
armés d'ordinateurs portables, en recherche de réseaux Wi-Fi
vulnérables afin d'y disséminer des programmes "avalant" les fameux
numéros de cartes de crédit.
Et y en a qui jouent au Loto...
![Genial, Essayez de lui suivre, mais gardez attention 35](https://2img.net/h/static.pcinpact.com/gfx/2k7b/rubrique/35.gif)
Albert Gonzalez. Retenez bien ce nom.
Meneur d'un groupe ayant détourné pas moins de 41 millions de numéros
de cartes de crédit, il est accusé par la justice américaine de :
fraude informatique, fraude téléphonique, usurpation d'identité
aggravée, et enfin de complot. Il risque tout simplement la prison à
vie.
![Genial, Essayez de lui suivre, mais gardez attention Mini-59734-mcafee-bandit-pirate-escrot](https://2img.net/h/static.pcinpact.com/images/bd/news/mini-59734-mcafee-bandit-pirate-escrot.gif)
personnes ont en tout et pour tout été inculpées. Si les dommages ne
sont pas (encore) quantifiables, Michael Mukasey, le procureur général,
a déclaré à la presse locale que ce groupe, dirigé par Albert Gonzalez,
a violé des systèmes de sécurité et installé des programmes afin de
recueillir « des quantités énormes de données financières personnelles, qu'ils auraient ensuite vendues à des tiers ou utilisées eux-mêmes ».
La justice révèle que ces 11 pirates ont infiltré les réseaux (via
Wi-Fi) des détaillants suivants : TJX (Marshalls et TJ Maxx), BJ's
Wholesale Club, OfficeMax, Boston Market, Barnes & Noble, Sports
Authority, Forever 21 et DSW.
Et si toutes les victimes n'ont pas encore été identifiées – on sait
toutefois que de nombreux Américains et Canadiens sont concernés –
l'Associated Press révèle que notre équipe de football du jour est
digne d'un grand club, avec des joueurs aux multiples origines.
Trois d'entre eux sont Américains, trois autres Ukrainiens, deux sont
Chinois, un est Estonien et un autre vient de la Biélorussie. Le
onzième homme ne serait pour l'instant connu que par son pseudo, et sa
nationalité est encore à identifier.
« Alors que la technologie a rendu notre vie plus facile, elle
a également créé de nouvelles vulnérabilités. Cette affaire montre
clairement comment quelques frappes sur un clavier avec un but criminel
peuvent avoir des résultats "coûteux" », résume le juge américain Michael J. Sullivan.
Selon ce dernier, nos 11 pirates n'étaient pas des génies de
l'informatique malgré leur performance, mais de simples opportunistes,
armés d'ordinateurs portables, en recherche de réseaux Wi-Fi
vulnérables afin d'y disséminer des programmes "avalant" les fameux
numéros de cartes de crédit.
casper- Modo
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Section : Informatique
Date d'inscription : 06/08/2008
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